Actualités du Digital
3 milliards de personnes utilisent les réseaux sociaux
Selon les statistiques compilées par Hootsuite et We Are Social, il y aurait aujourd’hui plus de 3 milliards de personnes sur les réseaux sociaux. Cela représente 40 % de la population mondiale et une large majorité des utilisateurs d’internet. Facebook et YouTube seraient les deux plateformes dominantes.
Combien y-a-t-il d’utilisateur de réseaux sociaux dans le monde ? La réponse : 3 milliards. Ou plus exactement, 3,028 milliards de personnes.
C’est ce qu’indique la nouvelle étude publiée par We Are Social et Hootsuite sur les statistiques du web dans le monde. Sur ces plus de 3 milliards d’utilisateurs sur les réseaux sociaux, 2,780 milliards sont des utilisateurs actifs sur mobile.
La population mondiale est aujourd’hui estimée à 7,524 milliards de personnes. Et 40 % de cette population ont donc au moins un compte sur un réseau social.
Le plus impressionnant, c’est que le nombre d’internautes est quant à lui estimé à 3,819 milliards de personnes et que de ce fait, seulement près de 870 millions de personnes ont internet mais pas de comptes sur les réseaux sociaux. Cela illustre à quel point le web d’aujourd’hui est dominé par ces plateformes.
D’autres statistiques intéressantes sont disponibles dans ce condensé d’informations concocté par Hootsuite et We Are Social. Par exemple, en un trimestre, le nombre d’utilisateurs sur les réseaux sociaux a augmenté de 4 %.
Sans surprise, c’est Facebook, avec ses deux milliards d’utilisateurs actifs par mois, qui domine les réseaux sociaux. Il est suivi de YouTube, qui en compte 1,5 milliards. Quant à Messenger et WhatsApp, qui sont aussi dans le Top 4 des plateformes, ils ont tous les deux 1,2 milliards d’utilisateurs actifs par mois.
Microsoft Paint bientôt remplacé par une version plus moderne
Vent de nostalgie sur les réseaux sociaux avec l’annonce hier par certains médias de la fin de Microsoft Paint. Cet utilitaire iconique a permis à chaque utilisateur de Windows de se prendre pour un artiste numérique l’espace de quelques créations.
Il arrive que l’outil soit encore pratique, même s’il est clairement dépassé par de très nombreux outils et services en ligne.
Microsoft a annoncé hier que MS Paint ne serait plus disponible et qu’il serait remplacé par Paint 3D, une version modernisée de l’utilitaire.
La version Paint 3D reprend les caractéristiques de la version classique de Paint en ajoutant la possibilité de travailler sur des effets 3D. Une version plus puissante de Paint donc, mais qui reprend les éléments de Paint « classique ».
Devant l’énorme vent de nostalgie faisant suite à cette annonce, Microsoft a par ailleurs décidé de permettre le téléchargement gratuit de MS Paint classique. Celui-ci restera disponible dans le Windows Store (il faudra donc l’installer soi-même), vous pourrez donc continuez à faire vivre l’artiste qui sommeille en vous ! Notons la réactivité de Microsoft qui a su écouter sa communauté et mesurer l’amour bien présent pour ce petit utilitaire si désuet.
Kinshasa veut limiter l’usage des réseaux sociaux
Les autorités de la République démocratique du Congo ont ordonné lundi la diminution du débit d’internet afin qu’il ne soit plus possible de diffuser des images sur les réseaux sociaux, a-t-on appris auprès d’un responsable des postes et télécommunications.
Cette décision intervient alors que l’hostilité est de plus en plus forte à l’encontre du président Joseph Kabila qui a refusé de renoncer à sa fonction à l’expiration de son mandat. Des manifestations de l’opposition sont prévues mardi et mercredi.
Lundi des affrontements entre les forces de sécurité et des membres de la secte Bundu dia Kongo ont fait au moins 14 morts.
« En vue de prévenir les échanges abusifs des images sur les réseaux sociaux entre abonnés de votre réseau, je vous prie de prendre dès réception de la présente, les mesures techniques préventives susceptibles de réduire au strict minimum la capacité de transmission des images », écrit l’autorité de régulation de la Poste et des Télécommunications du Congo dans un courrier adressé à l’opérateur Orange.
Le courrier énumère ensuite les réseaux sociaux ou moyens de communication concernés: Facebook, Whatsapp, Instagram, Twitter, Google+, Baidu Tieba, Skype, Viber, Pinterest, LinkedIn, Tagged, MySpace, Youtube, Vidéos, Buzznett, ou encore Meetup Snapfish.
Reuteurs
Les mobiles et les réseaux sociaux , sources de distributions de malwares
Au cours du premier trimestre 2017, plus de 16 000 éditeurs distribuant des malwares ont été identifiés au sein de diverses boutiques d’applications mobiles
Bon nombre de ces programmes malveillants avaient pris l’apparence d’applications légitimes. Le phishing par SMS a également connu une progression et a gagné en sophistication.
Parallèlement, la fraude et la cybercriminalité poursuivent leur essor sur les réseauxsociaux.
C’est notamment le cas des attaques impliquant des comptes d’assistance à la clientèle frauduleux, également appelées « phishing Angler », qui réussissent à duper un public toujours plus dépendant des réseaux sociaux en quête d’interactions avec les marques et entreprises.
Face à un paysage des cyber-menaces si complexe et mouvant, il est impératif que toutes les entreprises, peu importe leur taille, prennent des mesures pour protéger leur réputation de marque et notamment :
- Déployer une solution capable d’identifier et de mettre en quarantaine les emails malicieux à destination des employés, ainsi que de signer les messages sortants adressés aux clients ou aux partenaires. Les cybercriminels sont perpétuellement à la recherche de nouvelles techniques pour exploiter le facteur humain, il faut donc partir du principe que les utilisateurs se laisseront piéger !
- Mettre en place un dispositif de défense robuste contre les attaques BEC. Extrêmement ciblées et de faible envergure, ces escroqueries ne recourent que très rarement à une charge active et sont par conséquent difficiles à déceler. Une solution dotée de fonctions de classification dynamique permettra de définir des règles de mise en quarantaine et de blocage.
- Verrouiller les environnements d’applications mobiles. Les environnements mobiles multiplient les risques de voir des applications non autorisées dérober des informations critiques. Il est intéressant de choisir une solution orientée données capable d’opérer de concert avec un système de gestion des appareils mobiles (MDM) pour mettre au jour le comportement des applications au sein de l’environnement IT, en identifiant notamment les données auxquelles elles accèdent.