Facebook : à partir du 17 juillet 2017 impossible de modifier le titre, l’image ou la description d’un lien

À partir du 17 juillet 2017, il ne sera plus possible de modifier un lien sur Facebook avant de le publier. Vous ne pourrez donc plus personnaliser le titre, l’image à la une et la description des liens partagés sur Facebook. Certains community managers ne peuvent déjà plus modifier les liens qu’ils partagent sur Facebook.

Le réseau social indique que « supprimer la possibilité de personnaliser les métadonnées des liens (titre, description, image), de tous les canaux permettant de partager un lien sur Facebook, permet d’éliminer un canal souvent utilisé pour publier des fake news ». En résumé, Facebook estime que des personnes mal intentionnées modifiait ces données avant de partager un lien pour tromper les internautes.

Dans le même temps, le réseau social oublie tous ces community managers soucieux de la qualité de leurs partages, dont les liens ne contiennent pas toujours une image, un titre ou une description adaptés aux partages sur Facebook.

Pour contrer cette restriction, les community managers n’ont qu’une seule solution : convaincre les services techniques des sites dont ils partagent les liens d’optimiser les balises Open Graph. 3 métadonnées sont primordiales :

  • og:titre : le titre affiché sur les réseaux sociaux
  • og:image : l’image affichée sur les réseaux sociaux
  • og:description : la description affichée sur les réseaux sociaux

Techniquement, c’est relativement simple à mettre en place. La plupart du temps, si vous utilisez un CMS, vous pouvez facilement paramétrer votre site pour que l’og:title corresponde au H1 de votre page, l’og:image à l’image à la une utilisée et l’og:description à la balise Meta Description ou aux premières lignes de votre page.

Dans des cas plus complexes (par exemple, si votre site affiche des images dont le ratio est très éloigné du 1:1,91 préconisé par Facebook (1200*628 pixels)), vous pouvez voir avec vos développeurs pour qu’ils vous permettent d’uploader deux images pour illustrer vos articles : une image affichée sur votre site et une image adaptée aux partages sur les réseaux sociaux. Il en va de même pour le titre et la description, vos développeurs peuvent vous permettre de renseigner ces champs depuis le backoffice de votre CMS préféré.

Cette décision aura au moins une vertu : les éditeurs de site devront paramétrer correctement leurs balises Open Graph et les community managers n’auront plus à s’en soucier d’ici quelques temps. Aussi, en modifiant des liens non-optimisés au préalable, les community managers réalisaient de jolis partages ; mais il n’en était pas de même si un utilisateur partageait de lui-même un lien non-optimisé techniquement. Si les éditeurs de site jouent le jeu, ils permettront à n’importe quel internaute de partager des liens contenant un titre, une image et une description optimisés !




Facebook passe la barre des deux milliards d’utilisateurs

Facebook

Deux milliards : c’est le nombre d’utilisateurs actifs que revendique, mardi 27 juin, Facebook.

Un chiffre astronomique, comparé à la population mondiale, évaluée à 7,4 milliards de personnes. Concrètement, un utilisateur actif est un utilisateur qui se connecte au moins une fois par mois sur le plus grand réseau social du monde, lancé en 2004 par un étudiant d’Harvard, Mark Zuckerberg.

En France, les chiffres les plus récents, datant du mois dernier, font état de 33 millions d’utilisateurs actifs par mois, 25 millions par jour.

Le site multiplie les innovations qui feront son succès : introduction du « poke », qui permet de faire signe à un ami, du « mur », qui permet de suivre l’actualité de ses contacts, du « like », qui permet de marquer son intérêt pour une publication. Au point d’être devenu un symbole célèbre tout autour du monde.

Alors que le nombre d’utilisateurs grandit, l’entreprise également : introduite en Bourse en 2012, elle compte aujourd’hui plus de 18 000 employés avec des bureaux dans une cinquantaine de villes à travers le monde.

C’est que Facebook n’est plus uniquement Facebook : au fil des années, l’entreprise a absorbé d’autres entreprises et services, comme l’application Instagram, la messagerie WhatsApp ou encore Oculus, à l’origine du casque de réalité virtuelle Rift.

Facebook rachète et copie les innovations des autres services à succès : la vidéo en direct de Periscope, par exemple, les hashtags de Twitter ou encore les fonctionnalités de l’application Snapchat, très prisée des adolescents

 




Algérie: il suspend son bébé dans le vide pour des «Likes» sur Facebook

Pour avoir des « j’aime » sur Facebook, un algérien a suspendu ce week-end son bébé de moins de 18 mois du haut de son balcon . Un Algérien a provoqué un scandale pour avoir publié sur Facebook deux photos montrant un bébé suspendu dans le vide. D’après les médias locaux , l’homme a demandé un … Lire la suite

Après la CNIL, c’est la Commission européenne qui met Facebook à l’amende de 110 millions d’euros

Facebook

Après la Cnil qui a condamné mardi le réseau social à 150 000 euros, c’est maintenant la Commission européenne qui lui inflige une amende d’un montant de 110 millions d’euros pour des faits attachés à l’enquête menée lors du rachat de WhatsApp.

Pour les opérations de fusion de cette envergure, la Commission européenne enquête pour savoir si le rapprochement des entreprises risque ou non d’entraver la concurrence de quelque façon que ce soit. Et c’est là que le bât blesse. Pour cela, les entreprises concernées doivent présenter un dossier fourni. Mais voilà que Facebook n’aurait pas dit toute la vérité à la Commission

Lors de cette opération en 2014, Facebook avait indiqué qu’il n’était pas en mesure « d’établir d’une manière fiable la mise en correspondance automatisée entre les comptes utilisateurs de Facebook et ceux de WhatsApp« . Et l’entreprise l’a affirmé à deux reprises : lors du questionnaire d’information et lors d’une question précise de la Commission. Or, cette dernière estime que Facebook savait à l’époque qu’un tel rapprochement était possible. Il est entré dans les faits à l’occasion d’un changement des conditions générales d’utilisation en 2016.

 

 




Burkina: Les gouvernants ont espionnés les comptes facebook.( Rapport)

      

 

 

Les gouvernants burkinabé ont demandé en 2016 à avoir accès aux données Facebook d’utilisateur Burkinabé. L’information est donnée par le géant du net dans son rapport.

Dans le cadre des enquêtes officielles, les autorités gouvernementales demandent parfois des données concernant les utilisateurs de Facebook. Dans la majorité des cas, ces demandes sont liées à des affaires pénales, comme des vols ou des enlèvements. La plupart du temps, un gouvernement demande des informations de base sur les abonnés, comme leur nom, leur adresse et leur ancienneté. Certaines demandes peuvent également concerner l’adresse IP, voire le contenu du compte.

Selon Facebook les gouvernants burkinabé ont demandés à avoir accès aux comptes d’utilisateurs. Seulement le site ne donne pas l’identité du compte.