Le compte OpenAI piraté sur X

Le compte officiel d’OpenAI sur X a récemment été piraté, soulevant de nouvelles inquiétudes sur la sécurité en ligne. Ce piratage survient dans un contexte où les tensions entre Sam Altman, PDG d’OpenAI, et Elon Musk, propriétaire de X, sont bien connues.

Le compte OpenAI piraté, Un piratage visant une arnaque crypto

Le pirate a exploité le compte d’OpenAI pour promouvoir une fausse cryptomonnaie appelée « $OpenAI », dans une tentative d’arnaquer les utilisateurs. Pendant environ une heure, des messages incitant à investir dans cette fausse crypto ont été diffusés. Bien que ces publications aient été rapidement supprimées, l’incident montre à quel point même les grandes entreprises peuvent être vulnérables aux cyberattaques.

Des précédents piratages chez OpenAI

Cet événement n’est pas isolé. Récemment, plusieurs employés d’OpenAI ont également été victimes de piratages. Jason Wei, chercheur pour l’entreprise, a vu son compte compromis il y a peu. De plus, Jakub Pachocki, chief scientist d’OpenAI, a été piraté il y a trois mois. En 2023, c’était Mira Murati, Directrice des nouvelles technologies, qui avait subi une attaque similaire. Ces incidents révèlent la nécessité d’une meilleure sécurisation des comptes des employés et des entreprises.

La sécurité des réseaux sociaux sous pression

Cette série de piratages souligne l’importance de renforcer la sécurité des comptes en ligne. Des mesures comme l’authentification à deux facteurs et la surveillance proactive des comptes sont indispensables. Les entreprises doivent absolument prendre des mesures rapides et efficaces pour protéger leur présence sur les réseaux sociaux.

Facebook: « C’est toi dans cette vidéo ?  » Attention à la toute nouvelle arnaque

Le manque de connaissances quant à la confidentialité de rigueur face à l’utilisation des réseaux sociaux peut être dangereux. Cette « crédulité » peut parfois conduire des esprits malveillants à commettre des forfaits sur la toile. En prenant compte de ce risque, il est essentiel de vérifier si votre réseau social de prédilection n’essaie pas … Lire la suite

Arnaque: elle est interpellée pour plusieurs faux payement

Le mandat consiste à envoyer ou recevoir de l’argent liquide via une maison de transfert. Elle est régie par certaines clauses sécuritaires auxquelles sont soumis les usagers. Pour tout envoi ou réception, il est obligatoire de s’y soumettre au risque de se voir refuser les services. Les prestataires, censés veiller au respect scrupuleux de ces règles, font souvent fi de l’éthique professionnelle à des fins délictueuses. Le récit suivant vous éclairera sur ce fait.

Dame TK, a pour habitude de recevoir des mandats de la part de certains proches résidant à l’étranger. Tout se passe bien et jusque là les services sont fiables et rapides. Ce jour là, sa fille l’informe qu’elle lui a fait un mandat d’un montant de 1.180.722 FCFA environ 1817 EUROS. Elle prend soin de lui faire parvenir toutes les informations nécessaires pour le retrait.

TK, ayant plusieurs fois eu à effectuer ce genre de transaction, se rend dans une agence de la place muni de toutes les pièces justificatives. Une fois sur les lieux, elle se plie au contrôle d’usage. Après quelques minutes de vérification, la dame à l’autre bout du comptoir lui fait savoir que l’opération ne pourra pas aboutir.

Les codes remis par la cliente n’étant pas similaires à ceux sur son écran. TK joint alors sa fille qui à son tour se rend immédiatement dans l’agence dans laquelle elle a effectué l’envoi. Quelques instants plus tard elle est jointe par sa fille qui l’informe que l’argent à bel et bien été retiré. Surprise par cette information, TK qui n’a pas pu entrer en possession de ses fonds se rend dans les locaux de la Plateforme de la Lutte contre la Cybercriminalité ( PLCC ) pour porter plainte.

Appuyée par le Laboratoire de Criminalistique Numérique LCN, l’enquête de la PLCC a révélé que le mandat a été payé dans une agence de la place. Le jour du paiement, la caissière de service était AG. Celle ci est conduite dans nos locaux pour être entendu. Elle affirme avoir procédé au paiement dudit mandat sous présentation physique de l’acquéreur, de pièces administratives et du code secret.

Elle ajoute qu’il lui est impossible de procéder à l’annulation d’un mandat encore moins d’effectuer un paiement quand il y a erreur sur le nom ou prénom du récipiendaire. À la question de savoir pourquoi avoir donc avoir effectué le paiement bien que les pièces présentaient un prénom différent, elle répond qu’elle l’a fait par inadvertance. Elle s’est rendue compte bien plus tard.