Burkina: le Dr Abdoul Karim Sango porte plainte contre un membre du balais citoyen

« Le dogo Kambou Ollo Mathias Kamao s’est permis d’écrire une grave accusation sur ma modeste personne en me traitant d’avoir été un pro putschiste.

Kambou qui est un membre actif du balai citoyen fait partie de ceux que j’appelle les néo insurgés apparus dans l’espace public avec les événements de 2014.

Pour ces personnes, l’histoire du combat pour plus de démocratie et de justice a commence avec les événements des 30 et 31 octobre. Qu’est ce qui me vaut tant de méchanceté de la part de ce dogo qui en jour ordinaire peine à me regarder droit dans les yeux pour me saluer. Tellement il semblait avoir du respect pour moi!

Qu’ai je dit de si grave en invitant les uns et les autres à un sens beaucoup plus élevé de responsabilité par le respect des institutions et d’une décision de justice. Pour les Burkinabe qui me suivent depuis au moins 20 ans, j’ai toujours dénoncé toute violation des règles de l’État de droit.

J’ai parcouru tout le territoire pour éveiller les consciences sur la nécessité de construire un véritable État de droit démocratique. Très certainement le dogo Kambou figure sur la liste de ces nombreux jeunes venus assister souvent à mes conférences.

Je suis très attaché aux principes de l’État de droit par ma formation au delà de mon engagement politique. Que peut -on attendre d’un authentique juriste, enseignant de droit! Je ne suis pas un intellectuel de service en mission commandée sur les réseaux sociaux. Ils sont tellement nombreux que je n’ai pas de place dans ce club de ces privilégiés.

Beaucoup de mes étudiants qui connaissent mon attachement aux principes me suivent sur les réseaux sociaux. Je n’utilise pas facebook pour faire de l’agitation. Voilà pourquoi je ne me définis pas comme un activiste. Mon niveau de compétence établi dans le domaine où j’officie m’oblige à toujours chercher à élever le niveau du débat.

Je n’ai pas de compétence pour les débats de cabaret ou ceux liés à des personnes . On m’accuse d’être un théoricien, mais que devrais je être cher dogo? C’est en développant ces arguments théoriques du droit constitutionnel que j’ai contribué a démonter les arguments de ceux qui voulaient instituer le sénat et modifier l’article 37.

Tu étais où en ce moment ? Voilà comment les barricadiers comme toi avez eu de la matière pour mener vos activités de terrain. La théorie précède toujours l’action réfléchie. Cher dogo Kambou facebook est pour moi un espace où se prolongent mes séances d’enseignement de droit, voire de sciences politiques pour de nombreux personnes comme toi.

Et c’est gratuit! Tu as décidé délibérément de me diffamer. Tu iras démontrer devant le prétoire du juge, où, quand et comment j’ai fait un écrit pour appuyer le coup d’État de septembre 2015, moi qui ai du vivre en clandestinité. Ma famille en a souffert et tu choisis de salir mon honneur. J’ai réuni tous les éléments, mon avocat te fera parvenir l’assignation dans les jours à venir.

C’est de cette manière qu’un de tes camarades du balai très actif sur FB a exposé le koro Jean Baptiste Natama. Et des badauds sont allés brûler sa maison qu’il a construite sur des fonds licites. Vous avez employé la même stratégie contre Newton Ahmed Barry! Je pense que dans ta jeune expérience d’activiste, je serai ton terminus dans l’effort de délation. Que Dieu protège notre nation de cette jeunesse qui attise la haine! »

Au dernière nouvelle le Dr Abdoul Karim aurait décidé d’annuler son action.

Côte d’Ivoire: Des brouteurs se faisant passer pour des européens épinglés à Daloa

Adi Roland Olivier, Kouamé Yao Yannick et Amoikon Kouassi Wilfried Bertrand, trois présumés brouteurs ont été interpellés, vendredi, par la brigade anti criminalité de Daloa qui a pu leur mettre la main dessus sur indication anonyme.

Grâce à un réseau d’escroquerie bien ficelé, ces derniers se faisaient passer, sur des sites de rencontre, pour des acteurs européens ou des femmes européennes à la recherche d’une âme soeur. Ainsi, ils parvenaient à soutirer à leurs correspondants des sommes importantes atteignant des millions, a indiqué la BAC.

 

Pour lutter contre les fausses informations, Facebook veut lancer un bouton « contexte »

Dans sa lutte contre les fausses informations qui circulent depuis plusieurs mois sur ses plateformes, Facebook a annoncé que ses équipes testaient actuellement un bouton contexte.

Il s’agit d’un bouton « i », qui se retrouverait sous un article et permettrait au lecteur de le contextualiser en fournissant des détails supplémentaires sur le sujet traité ou la source de l’information.

Les détails fournis par Facebook proviendront du site de la source et éventuellement de Wikipédia. Si aucun détail sur l’article ou son éditeur n’est disponible, le réseau social le fera également savoir aux utilisateurs. L’un des principaux intérêts du bouton « contexte » est qu’il permet une vérification sommaire de l’information sans quitter la plateforme de Facebook.

Les équipes du réseau social basé à Menlo Park ont annoncé que le réseau social travaillait sur la nouvelle fonctionnalité en partenariat avec des médias avec lesquels il avait déjà collaboré.
Agenceecofin

Applications les plus utilisées : les réseaux sociaux toujours en tête

Combien de fois un utilisateur ouvre-t-il une application en l’espace d’un mois ? Qui des e-commerçants ou des médias sont les plus populaires ? La réponse dans cette infographie.

Les réseaux sociaux sont les applications les plus utilisées dans le monde. Un utilisateur ouvre ou démarre une application de cette catégorie 22,7 fois par mois en moyenne, selon des données analysées par la plateforme Localytics et présentées ici sous la forme d’une infographie par notre partenaire Statista. La moyenne toutes catégories confondues est de 15,89.

Ce nombre est de 15,19 pour les applications de média et divertissement et d’à peine 10,88 pour les magasins et e-commerçants.

Côte d’Ivoire: il harcelait le supérieur de sa patronne par SMS

Pour la petite histoire Mr Z recevait des menaces, des injures et était harcelé par sms d’un numéro qui lui était inconnu.

Exaspéré, il dépose une plainte à la Plateforme de Lutte Contre la Cybercriminalité (PLCC) pour qu’on puisse mettre la main sur son bourreau. C’est ainsi que les enquêtes menées par la PLCC ont permis d’interpeller le dénommé KOFFI KOUADIO BERTRAND et l’exploitation par le LCN des pièces en conviction sa possession a permis de relier le suspect au numéro qui émettait les menaces et les injures.
Interrogé, le suspect a reconnu qu’il était le harceleur de M. Z. Cependant il déclare que ce serait sa patronne qui serait à la base du problème. Elle aurait même acheté un téléphone à cet effet et était celle qui rédigeait sur papier ce qu’il devait dire mot pour mot soit par appel téléphonique soit par sms.
En somme KOFFI KOUADIO BERTRAND a été conduit devant les autorités compétentes. Il pourrait être poursuivi pour menaces, harcèlement et diffamation téléphonique.