Nigeria: Cybercriminalités, vol de plus de 3 milliards de dollars dans le monde

Kaspersky Labs, a accusé des pirates nigérians et des cybercriminels d’avoir mis sur pied un réseau d’information dans le but de soutirer frauduleusement de l’argent aux gens.

Pour réussir leurs arnaques, les pirates et les cybercriminels envoient des courriels par phishing (une technique utilisée par des fraudeurs pour obtenir des renseignements personnels dans le but de perpétrer une usurpation d’identité) aux organisations commerciales et aux entreprises industrielles dans le but de les escroquer plus tard.

Par rapport à cette révélation, le FBI a estimé que les attaques de phishing ont coûté aux entreprises dans le monde plus de 3 milliards de dollars. Le nombre de sociétés victime de ces arnaques est au-delà de 22.143.

Les cibles des pirates et arnaqueurs sont principalement des entreprises industrielles et des firmes de transport et de logistique basées en Allemagne, aux EAU, en Russie et en Inde.

Les faux mails reçus par les victimes comportent des pièces jointes PDF avec des noms tels que « Energy & Industrial Solutions W.L.L_pdf », « Woodeck Specifications best Prices Quote.uue » et « Saudi Aramco Quotation Request for October 2016 ».

Kaspersky a découvert que les dossiers envoyés sont des fichiers malveillants destinés à voler des données confidentielles et à installer des outils d’administration à distance sur les systèmes infectés.

Si pour l’heure aucune solution durable n’est proposée pour contrer ces arnaqueurs qui passent souvent la majeur partie de leur temps devant des ordinateurs ou smartphone en mains, il est seulement fait état de ce que c’est des professionnels qui s’adaptent aux systèmes de sécurité mis en place en ligne.




Algérie: il suspend son bébé dans le vide pour des «Likes» sur Facebook

Pour avoir des « j’aime » sur Facebook, un algérien a suspendu ce week-end son bébé de moins de 18 mois du haut de son balcon . Un Algérien a provoqué un scandale pour avoir publié sur Facebook deux photos montrant un bébé suspendu dans le vide. D’après les médias locaux , l’homme a demandé un … Lire la suite

Cyberdélinquance: Le soi disant « ANDREHI JOHNSON GOMEZ » mis aux arrets

La déception amoureuse de Dame K l’a poussé à trouver du refuge sur les réseaux sociaux, où elle est à la recherche du véritablement amour. C’est ainsi qu’elle fait la connaissance de « ANDREHI JOHNSON GOMEZ », un européen de nationalité italienne résidant en France. De cette amitié naît une relation de confiance qui aboutit à une idylle virtuelle.

C’est à cet effet que ANDREHI a demandé des photos et vidéos à caractère sexuel à sa dulcinée, qui s’excute. Par la suite, il coupe tout contact avec son amoureuse virtuelle.

Un jour, elle reçoit l’appel téléphonique d’un individu qui lui fait savoir qu’il détient des photos d’elle dénudée (victime). Cet individu nommé KEHI ÉLYSÉ JOEL exige à Dame K le versement d’une somme d’argent ou des rapports sexuels, pour la non-diffusion de ses preuves compromettantes sur tous les réseaux sociaux.

Le refus de celle-ci débouche sur un harcèlement systématique sur internet et par téléphone. Dame K finit par céder au chantage et accepte d’avoir des rapports faute de moyen financier pour effectuer le paiement.

Le jour du rendez-vous chez le bourreau (le suspect), Dame K profite de l’absence de celui-ci sortit faire des courses pour s’enfuir avec son téléphone (celui du suspect) contenant lesdites vidéos.

De retour, le suspect constate l’absence de Dame K et de son téléphone, situation qui l’amène à contacter sa victime. Le suspect lui demande de ne pas se rendre à la police et de lui restituer son téléphone. Elle saisit la PLCC pour même, pour le mettre hors d’état de nuire. Les enquêtes menées permettent de l’arrêter dans la commune de Koumassi.

Conduit dans les locaux de la PLCC, l’exploitation des éléments en sa possession par le LCN met à jour de nombreuses vidéos et photos compromettantes de bon nombre de femmes. L’examen des preuves révèle également que le faux profil « ANDREHI JOHNSON GOMEZ » est celui utilisé par le suspect sur internet.

Interrogé, KEHI ÉLYSÉ JOEL alias « ANDREHI JOHNSON GOMEZ » reconnaît être un cyberdélinquant. Il déclare pratiquer le chantage à la vidéo pour soutirer de l’argent à ses victimes ou avoir des rapports sexuels avec celles-ci.

En somme, le suspect pourrait être poursuivi pour utilisation frauduleuse d’éléments d’identification de personne physique, d’enregistrement illégale de communication privée, de chantage et escroquerie sur internet.




Après la CNIL, c’est la Commission européenne qui met Facebook à l’amende de 110 millions d’euros

Facebook

Après la Cnil qui a condamné mardi le réseau social à 150 000 euros, c’est maintenant la Commission européenne qui lui inflige une amende d’un montant de 110 millions d’euros pour des faits attachés à l’enquête menée lors du rachat de WhatsApp.

Pour les opérations de fusion de cette envergure, la Commission européenne enquête pour savoir si le rapprochement des entreprises risque ou non d’entraver la concurrence de quelque façon que ce soit. Et c’est là que le bât blesse. Pour cela, les entreprises concernées doivent présenter un dossier fourni. Mais voilà que Facebook n’aurait pas dit toute la vérité à la Commission

Lors de cette opération en 2014, Facebook avait indiqué qu’il n’était pas en mesure « d’établir d’une manière fiable la mise en correspondance automatisée entre les comptes utilisateurs de Facebook et ceux de WhatsApp« . Et l’entreprise l’a affirmé à deux reprises : lors du questionnaire d’information et lors d’une question précise de la Commission. Or, cette dernière estime que Facebook savait à l’époque qu’un tel rapprochement était possible. Il est entré dans les faits à l’occasion d’un changement des conditions générales d’utilisation en 2016.

 

 




Burkina: Les gouvernants ont espionnés les comptes facebook.( Rapport)

      

 

 

Les gouvernants burkinabé ont demandé en 2016 à avoir accès aux données Facebook d’utilisateur Burkinabé. L’information est donnée par le géant du net dans son rapport.

Dans le cadre des enquêtes officielles, les autorités gouvernementales demandent parfois des données concernant les utilisateurs de Facebook. Dans la majorité des cas, ces demandes sont liées à des affaires pénales, comme des vols ou des enlèvements. La plupart du temps, un gouvernement demande des informations de base sur les abonnés, comme leur nom, leur adresse et leur ancienneté. Certaines demandes peuvent également concerner l’adresse IP, voire le contenu du compte.

Selon Facebook les gouvernants burkinabé ont demandés à avoir accès aux comptes d’utilisateurs. Seulement le site ne donne pas l’identité du compte.