


Arnaque: elle est interpellée pour plusieurs faux payement
Le mandat consiste à envoyer ou recevoir de l’argent liquide via une maison de transfert. Elle est régie par certaines clauses sécuritaires auxquelles sont soumis les usagers. Pour tout envoi ou réception, il est obligatoire de s’y soumettre au risque de se voir refuser les services. Les prestataires, censés veiller au respect scrupuleux de ces règles, font souvent fi de l’éthique professionnelle à des fins délictueuses. Le récit suivant vous éclairera sur ce fait.
Dame TK, a pour habitude de recevoir des mandats de la part de certains proches résidant à l’étranger. Tout se passe bien et jusque là les services sont fiables et rapides. Ce jour là, sa fille l’informe qu’elle lui a fait un mandat d’un montant de 1.180.722 FCFA environ 1817 EUROS. Elle prend soin de lui faire parvenir toutes les informations nécessaires pour le retrait.
TK, ayant plusieurs fois eu à effectuer ce genre de transaction, se rend dans une agence de la place muni de toutes les pièces justificatives. Une fois sur les lieux, elle se plie au contrôle d’usage. Après quelques minutes de vérification, la dame à l’autre bout du comptoir lui fait savoir que l’opération ne pourra pas aboutir.
Les codes remis par la cliente n’étant pas similaires à ceux sur son écran. TK joint alors sa fille qui à son tour se rend immédiatement dans l’agence dans laquelle elle a effectué l’envoi. Quelques instants plus tard elle est jointe par sa fille qui l’informe que l’argent à bel et bien été retiré. Surprise par cette information, TK qui n’a pas pu entrer en possession de ses fonds se rend dans les locaux de la Plateforme de la Lutte contre la Cybercriminalité ( PLCC ) pour porter plainte.
Appuyée par le Laboratoire de Criminalistique Numérique LCN, l’enquête de la PLCC a révélé que le mandat a été payé dans une agence de la place. Le jour du paiement, la caissière de service était AG. Celle ci est conduite dans nos locaux pour être entendu. Elle affirme avoir procédé au paiement dudit mandat sous présentation physique de l’acquéreur, de pièces administratives et du code secret.
Elle ajoute qu’il lui est impossible de procéder à l’annulation d’un mandat encore moins d’effectuer un paiement quand il y a erreur sur le nom ou prénom du récipiendaire. À la question de savoir pourquoi avoir donc avoir effectué le paiement bien que les pièces présentaient un prénom différent, elle répond qu’elle l’a fait par inadvertance. Elle s’est rendue compte bien plus tard.

Instagram cache désormais le nombre de mentions «j’aime» sur les publications
La plate-forme de médias sociaux, Instagram dissimule le nombre de mentions «j’aime» sur les publications dans divers pays, tels que l’Australie et le Japon, pour «supprimer la pression» sur les utilisateurs.
L’essai qui a débuté jeudi, 18 juillet, donnera l’opportunité aux abonnés Instagram de voir seulement un nom d’utilisateur et «d’autres» personnes qui ont aimé la publication plutôt que de voir un nom d’utilisateur et un nombre particulier de personnes aimant le message.
Depuis quelques semaines, le nombre de mentions j’aime et le compteur de vues sous les vidéos ne s’affichent plus sous les publications de certains utilisateurs de l’application.
Le premier marché concerné fut le Canada en mai. Le test a été étendu à l’Australie, la Nouvelle-Zélande, l’Irlande, l’Italie, le Japon et le Brésil jeudi 18 juillet.
Toutefois, les utilisateurs peuvent afficher le nombre de mentions J’aime sur leur propre posts.
Cette mesure a été prise parce que certains craignaient que les plateformes de médias sociaux puissent contribuer à une faible estime de soi et à un sentiment d’insuffisance chez les jeunes.
À la place du nombre de personnes précis ayant appuyé sur le coeur en bas à gauche d’une photo ou d’une vidéo, les utilisateurs voient désormais s’afficher une mention “aimé par tel utilisateur et d’autres”.

Projet e-Burkina : des e-services et nouveaux sites web des ministères et institutions lancés
Le ministère de l’Economie numérique et des postes a procédé, ce jeudi 25 juillet 2019 à Ouagadougou, au lancement des e-services du guichet virtuel unique de l’administration publique et des nouveaux sites web des ministères et institutions.
Cette cérémonie était coparrainée par les ministres en charge de la Communication et de la Fonction publique.
Le numérique occupe une place de choix dans la politique du gouvernement et la dématérialisation des services publics se poursuit au grand bonheur des usagers. A travers le projet e-Burkina, Madame Hadja Fatoumata OUATTARA/ SANON a procédé ce 25 juillet 2019 au lancement officiel du guichet virtuel de l’administration et des sites web des ministères et institutions publics. Ce sont au total 63 sites web qui ont désormais de nouveaux designs, une meilleure ergonomie, une sécurité renforcée et qui respectent les standards du web actuel.
A cela s’ajoute le guichet virtuel de l’administration qui permet d’avoir accès à 7 services en lignes qui sont entre autres, la demande d’attestation de travail, la demande de casier judiciaire, la demande de certificat de nationalité, la demande d’agrément technique. Pour Madame Hadja OUATTARA/ SANON, avec ce lancement c’est « une nouvelle brique qui s’ajoute au processus de digitalisation de notre pays ». Les e-services lancés sont disponibles en suivant le lien : servicepublic.gov.bf.

L’ARCEP procédé à un réaménagement des fréquences
L’Autorité de régulation des communications électroniques et des postes porte à la connaissance de l’opinion publique, et particulièrement des utilisateurs des services de communications électroniques, qu’il sera procédé à un réaménagement des fréquences donnant lieu à une nouvelle répartition des bandes de fréquences entre les trois opérateurs de communications électroniques que sont ONATEL S.A, ORANGE BURKINA FASO S.A et TELECEL FASO S.A.
Cette opération qui se déroulera du 27 juillet au 31 août 2019 fait suite à l’attribution aux opérateurs de licences individuelles technologiquement neutres pour l’établissement et l’exploitation des réseaux et services de communications électroniques, notamment le déploiement de réseaux 4G.
Ce réaménagement permettra à chaque opérateur d’augmenter la capacité et la qualité des services offerts au public et procurera d’énormes avantages aux consommateurs tels que l’augmentation de la capacité des réseaux, l’augmentation de la capacité Internet et l’amélioration substantielle de la disponibilité et de la qualité des services.
Cependant, la phase de migration pourrait créer quelques perturbations dans la fourniture de ces services, notamment, absence de réseau, difficultés d’établissement des communications, bruits métalliques ou encore des coupures de communications.
L’Autorité de régulation des communications électroniques et des postes présente dors et déjà ses excuses pour les désagréments liées à cette opération.
Elle sait compter sur la bonne compréhension de toutes et de tous et vous rassure qu’elle a invité les opérateurs de téléphonie à minimiser au maximum les impacts négatifs sur leurs abonnés.
Ouagadougou, le 19 juillet 2019
Le département de la Communication et de l’International

Google présente son nouveau réseau social : Shoelace
Google se lance une nouvelle fois dans un réseau social, en espérant faire mieux que les précédents.
En avril dernier, Google Plus, le réseau social de la firme de Mountain View, fermait ses portes. Cet échec a certainement beaucoup appris au géant américain, qui se lance dans une nouvelle aventure sociale, avec Shoelace. Ce réseau social basé sur la proximité permet à ses utilisateurs d’en localiser d’autres afin de les rejoindre pour effectuer diverses activités sportives, ou culturelles.
Shoelace promet de vous aider à communiquer avec d’autres personnes qui partagent les mêmes centres d’intérêt. Il est possible d’inviter des amis ou des inconnus à rejoindre un événement. Avec la précision de Google Maps grâce à ses données, la firme de Mountain View part avec un avantage considérable.
Android Police précise que Google a déjà tenté ce concept en 2011, avec Schemer. Un concept qui par ailleurs, ressemble beaucoup aux événements Facebook. Comme Google Plus, Schemer a rapidement fermé ses portes en laissant derrière lui très peu de souvenirs. Ces échecs vont sûrement permettre à Google de rebondir en optant pour de nouvelles façons de faire vivre ce réseau social le plus longtemps possible.
Pour le moment, Shoelace est disponible sous Android, et iOS, mais uniquement à New York. Il semblerait que l’application ne soit plus disponible sur le Play Store dans notre région, cependant, elle reste disponible sur APK Mirror. Google n’a nullement évoqué un quelconque déploiement pour le reste du monde, il semblerait que l’entreprise ait décidé de ne pas brusquer le lancement en analysant correctement les retours des New-Yorkais.

Facebook cache un code dans les photos que vous téléchargez
Un chercheur en cybersécurité a identifié un code placé dans les images téléchargées depuis Facebook. Il permettrait de suivre un utilisateur en dehors de la plateforme.
Dernièrement, un australien, chercheur en cybersécurité, a remarqué la présence d’un code dans les métadonnées de photos téléchargées sur Facebook. Il permettrait de suivre ladite image en dehors de sa plateforme, et ainsi la relier à un utilisateur.
Les données IPTC sont ce qu’on appelle des métadonnées. Elles sont cachées dans une image afin d’être récupérées dans un autre logiciel, ou sur un autre site, afin de présenter certaines informations. Cela peut être un copyright, une légende ou description du cliché, etc.
Dans le cas de Facebook, ce qui est laissé est une suite de chiffres et de lettres. Grâce à cela, le réseau social peut suivre une image qui a été publiée sur son réseau social lorsqu’elle est partagée ailleurs.
Du tracking ? Oui. Mais pour quoi faire ?
La présence de ce code peut avoir de multiples applications pour le suivi de l’image, et pas nécessairement celui de l’utilisateur. Ainsi, la première application logique serait la protection de la propriété de l’image. Si Facebook n’est pas vraiment connu pour savoir protéger les ayants droits, il doit tout de même se mettre au diapason. De cette manière, si une grande marque, ou un photographe se plaint de l’utilisation abusive de ses créations, Facebook pourrait rapidement retrouver les contenus en question.
L’autre aspect important, c’est la protection des utilisateurs contre les contenus choquants, et proscrits. Ça a été le cas avec la vidéo en direct de l’attentat de Christchurch. Si le live du terroriste n’a été vu que par moins de 200 personnes, un petit groupe l’a téléchargé, puis repartagé. De par la recherche de viralité omniprésente sur le réseau social, la vidéo a été repartagée 1,5 million de fois, mais instantanément supprimée par Facebook. Si l’on peut remercier l’intelligence artificielle, il est possible que des métadonnées permettent de pré-identifier la vidéo si par exemple elle a été modifiée pour tromper les algorithmes.
Dernièrement, et le plus préoccupant des cas d’utilisation de ces données IPTC, c’est le suivi des utilisateurs. Imaginez que vous téléchargiez vos photos de vacances sur Facebook, puis que vous les récupériez pour les mettre sur votre blog personnel, ou ailleurs sur le web. Ce code permettrait à la société de Mark Zuckerberg de vous identifier en dehors de son écosystème. Ainsi, cela lui permet d’en connaitre plus sur vous, vos centres d’intérêt, afin de renforcer son outil de ciblage publicitaire.
Cette approche peut également permettre d’identifier des liens entre plusieurs personnes, sans avoir recours à la reconnaissance faciale. Par exemple, si une personne repartage la photo d’une autre.
Si cette dernière hypothèse s’avère plus concluante que les autres, cela va lever à nouveau des doutes sur le réseau social, et les données qu’il est en mesure de collecter. Cependant, cette pratique n’est pas nouvelle, puisqu’en 2015 un utilisateur de Stack Overflow avait identifié un code similaire, débutant par FBMD. Néanmoins, on peut s’inquiéter du véritable respect de notre vie privée dès lors que l’on ne navigue plus sur Facebook, et des indices que nous lui laissons un peu partout. De plus, s’il s’agit bien d’un tracking des utilisateurs, qu’en dit le RGPD ?
« Le code surligné est utilisé pour faciliter le chargement des images sur les appareils mobiles et n’est pas relié à la personne qui télécharge la photo ou à la personne qui la regarde. Nous ajoutons également du code dans les outils construits par nos équipes de sécurité et de sûreté pour nous aider à détecter les abus, comme l’usurpation d’identité, » nous a cependant précisé un Porte-parole sur Facebook quelques jours après la publication de notre article.
Siècle digital

Android : Google retire sept programmes espions de son Play Store
L’éditeur d’antivirus Avast tire le signal d’alarme : des applis Android créées par un éditeur russe étaient utilisées à des fins de surveillance. Google les a retirées de la circulation.
Google fait la chasse aux applications de surveillance illégales. Après la découverte des chercheurs en sécurité d’Avast, sept applis ont été retirées des rayonnages du Google Play Store. Des applis dont le caractère malveillant a été mis en lumière par la plate-forme de détection « apklab.io » d’Avast.
L’espion qui m’aimait (un peu trop)
Développés par un studio russe, ces petits programmes permettaient de surveiller, à leur insu, des enfants ou des collègues de bureau. Problème, ces applications étaient aussi employées pour surveiller les déplacements et activités de conjoint(e)s ou relations amoureuses. De quoi écorner l’image de Google.
« Ces applications sont contraires à l’éthique et posent problème au regard du respect de la vie privée des utilisateurs. Elles ne devraient pas être sur le Google Play Store. Elles incitent à avoir un comportement criminel et peuvent être aisément détournées de leur fonction première par des stalkers, des employeurs ou des partenaires possessifs qui veulent espionner leurs victimes. Ce sont des Stalkerwares […] » a déclaré Nikolas Chrysaidos, l’un des responsables de la sécurité mobile chez Avast.
Reconnaissons que le nom de ces applis ne laisse que peu de doutes quant à leur usage : Track Employees Check Work Phone Online Spy Free, Spy Kids Tracker, Phone Cell Tracker ou encore Spy Tracker, SMS Tracker… et elles avaient du succès ! Elles totalisaient 130000 installations combinées, Spy Tracker et SMS Tracker arrivant en pôle position avec 50000 installations chacune.
Ces applications collectaient et enregistraient la position géographique bien sûr, mais aussi les messages textes reçus et saisis ou encore l’historique des appels. En bonnes applications espionnes, celles-ci ne laissaient aucune trace, indiquant à l’espion comment faire disparaître les éléments d’installation éventuels… Pire, elles n’apparaissaient pas dans la liste des programmes présents sur le terminal.
Source : Blog Avast

Côte d’Ivoire: Voici comment les réseaux sociaux ont sauvé la vie d’un jeune garçon abandonné
Les réseaux sociaux, en particulier Facebook ne sont parfois pas utilisés à bon escient. Alors qu’ils peuvent aider souvent des personnes en détresse ou dans le besoin.
“Steph & Steph”, un couple a prouvé une fois de plus que Facebook n’est pas seulement là pour le partage des photos ni pour les commentaires désobligeants. Ce couple a fait un post montrant un jeune garçon en détresse.
Un poste qui n’est pas passé inaperçu et qui a réveillé tapé sur la sensibilité de plusieurs personnes.
Les images ci-dessous vous édifieront un peu plus.
